PENSEES SUR L'ISLAM (de Condorcet à Malraux)

 « Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion > de Mahomet. »
(Chateaubriand/1768-1848)

« La religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, (.) > semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, > toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire « 
(Condorcet/1743-1794)

«  Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande > religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de > plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable > d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes > conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du > théisme. (.) Je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde.» (Arthur Schopenhauer  1788-1860)

« L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, > l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux > qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cour du > côté de l’intérieur de la famille. »  (Alexis de Tocqueville 1805-1859)

« J’ai beaucoup étudié le Coran (…) Je vous avoue que je suis > sorti > de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout  prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de  Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence  aujourd’hui si visible du monde musulman (.) je la regarde comme une  décadence plutôt que comme un progrès. »  (Alexis de Tocqueville / 1805-1859)

« Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la  civilisation > à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus  obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils  ne changent de culte. » (Alfred de Vigny / 1797-1863)

« L’islam! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son > ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout > miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force > l’empire de Satan dans tout l’univers. » (Bossuet /1627-1704)

« Celui qui prétend être le prophète d’Allah devrait avoir des > lettres de créances, c’est-à-dire la prophétie, les miracles et > l’intégrité de l’ensemble de sa vie. Rien de tout cela ne se trouve > chez
> Mahomet, cet homme de pillage et de sang qui prêche sa doctrine à coup > de cimeterre, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu. » (Monseigneur Louis Pavy – Évêque d’Alger / 1805-1866)

« L’islam est contraire à l’esprit scientifique, hostile au  progrès > ; il a fait des pays qu’il a conquis un champ fermé à la culture  rationnelle de l’esprit. » (Joseph Ernest Renan / 1823-1892)

« L’influence de cette religion paralyse le développement social de  ses fidèles (.) Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans > le monde.(.)Si la Chrétienté n’était protégée par les bras puissants  de  la Science, la civilisation de l’Europe moderne pourrait tomber, comme  tomba celle de la Rome antique. » (Winston Churchill / 1874-1965)

« Je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec > l’islam et cette impression n’a fait que se préciser et s’affermir  depuis. » (Hermann von Keyserling / 1880-1946)

« Les nazis sont les meilleurs amis de l’islam. » (Le grand Mufti de Jérusalem en 1943)

« Je n’ai rien contre l’Islam, parce que cette religion se charge  elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils  combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref,
> c’est une religion très pratique et séduisante pour un soldat. » (Heinrich Himmler – Reichführer SS / 1900-1945)

Et enfin, voici pour la bonne bouche les réflexions d'un grand > écrivain et homme politique français, paru dans l'hebdomadaire américain  Time...« 

C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la > poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, > cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine.
Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. A > l’origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le  courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les  organisations patronales ou ouvrières n’ont trouvé la réponse. De même > aujourd’hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter  le  problème de l’islam.En théorie, la solution paraît d’ailleurs extrêmement difficile. > Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à
 l’aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée  par  un véritable homme d’Etat.
 Les données actuelles du problème portent à croire que des formes  variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers  le monde arabe. Quand je dis «musulmane» je pense moins aux structures  religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de  Mahomet.
 Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer  le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps.
> Actuellement, il est trop tard ! Les «misérables» ont d’ailleurs peu à  perdre. Ils préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une > communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons  d’eux une conception trop occidentale.Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils  préféreront l’avenir de leur race. L’Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus.  Tout ce que nous pouvons faire, c’est prendre conscience de la gravité
 du phénomène et tenter d’en retarder l’évolution. » André Malraux, 3 juin 1956.

Cet entretien est donc paru il y a presque... 60 ans !
Visionnaire et prophétique, Malraux ? Sans aucun doute !
Mais que dire de ceux qui, en 2013, refusent encore l'évidence ?

Source Institut Charles de Gaulle.

Date de dernière mise à jour : 2021-07-05 10:28:29