Au nom de quoi ? Au nom de quoi des musulmans finalement "ordinaires" passent-ils du côté du Mal absolu, en se livrant à d'atroces et répétitives exécutions ? Au nom de quoi les musulmans de toutes époques et de toutes régions ont-ils soumis, ou soumettent-ils, par la violence la plus extrême, des régions et des populations entières ? Au nom de quoi l'effroyable génocide de 1 500 000 arméniens fut-il perpétré dans des conditions de sauvagerie dépassant l'imagination, et cela au XXème siècle, donc hier ? Tout cela, au nom de quoi ?

Au nom d'un livre politico-religieux, le Coran, qui contient tous les ingrédients permettant, ou plutôt imposant ce déferlement planétaire de feu, de fer et de sang, depuis quatorze siècles.

Car ne nous y trompons pas : le Coran est un livre à multiples facettes qui justifie, pour un but final très clair, toutes les exactions commises partout au nom de l'islam, dans les impitoyables dictatures islamiques (Arabie saoudite, Pakistan et autres Turquie) comme dans les états ouvertement terroristes (Etat islamique, Soudan du Nord et autres Libye) ou par les communautés musulmanes installées dans les pays non musulmans (Europe occidentale, Afrique, Asie).

Le but affiché est partout le même : islamiser le monde entier, transformer le monde en un monde musulman, unifié et autoritaire. Ce qui signifie, dans les faits, la fin du monde. Le Coran affiche cela, le nier est un déni de réalité.

Ainsi, ne pas connaître le Coran, arme de destruction massive, est aujourd'hui une faute lourde, car la pire des soumissions est celle qui se réalise dans l'ignorance béate.

Puisse le martyr du père Hamel éveiller les consciences, passablement assoupies, de notre pays, pour que nous agissions avant qu'il ne soit trop tard.

 

François Billot de Lochner,

président de la Fondation de Service politique,

de Liberté politique et de France Audace.